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Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 07 déc. 2015, 18:40
par djmaxdu10
Pour tant une page facebook stadito la mis
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 08 déc. 2015, 13:15
par djmaxdu10
France football la mis
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 08 déc. 2015, 13:33
par did3lf
Quand certains supporters demandaient à JMF pourquoi il ne le faisait pas jouer plus souvent, la réponse de "Monseigneur" était égale à lui même :
- "Il ne tiens pas un match entier. Il ne peut tenir que 15 ou 20 minutes maximum !!!"
Et tout ça d'un air dédaigneux, dixit l'un des sup' qui a osé poser la question.
Comme quoi, JMF était un grand visionnaire.
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 08 déc. 2015, 19:39
par edo
Y'a une chose de sûre, c'est qu'il fait tellement d'efforts offensifs ou défensifs, qu'il en perd sa lucidité au moment du dernier geste (centre ou frappe).
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 08 déc. 2015, 20:59
par Squalo
On a vu ce que ça donne pour certains de vouloir "gérer les efforts", ça sert pas à grand chose d être lucide si il y a 3 - 0, parce que les offensifs n ont pas fait les efforts en défense.
Après c est sur qu il doit s améliorer dans le dernier geste et dans les 20 derniers mettres, mais quand il rentrait dans les 10 dernières minutes c était déjà le cas. Contre Reims il a montré qu il avait une bonne caisse et qu il était capable de tenir tout un match, maintenant j ose espérer qu avec un peu d'expérience et de confiance il va trouver le déclic pour marquer et faire marquer.
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 11 déc. 2015, 10:22
par nikosss51
Article l'Est Eclair de vendredi 11/12/2015
Estac / Jimmy Cabot a sauté sur l'occasion
Christophe Mallet
Jimmy Cabot a mis son grain de folie dans le jeu de l’Estac samedi dernier à Reims.
Une prestation XXL à la hauteur de ses qualités techniques… à reproduire contre Bastia
Depuis le temps qu’on l’attendait, qu’on le guettait ! Jimmy Cabot a enfin sorti « the big match ». Lui que l’on voyait régulièrement « casser les reins » de ses adversaires dans les catégories jeunes, en CFA2, en CFA et souvent aux entraînement, a éclaboussé de son talent le match Reims-Estac, samedi à Delaune. Au point de figurer cette semaine dans l’équipe-type composée par France Football.
Ce match abouti, de la première à la dernière minute, Jimmy Cabot l’a sorti quelques jours après que Jean-Marc Furlan a jeté l’éponge au club. Simple coïncidence ou relation de cause à effet ? Le joueur préfère esquiver, comme il a l’art de le faire, dans un grand jour, lorsqu’il élimine un adversaire d’une inspiration. « À Lorient, déjà, j’avais fait un bon match », tient-il à dire pour tordre le cou à se raccourci un peu facile. Ce jour-là, Jean-Marc Furlan l’avait installé dans le onze de départ. La seule fois où il a eu la chance de débuter en Ligue 1.
« J’ai joué à Reims parce
qu’on comptait sur moi »
À Reims, le pur produit de la formation troyenne a quand même considérablement haussé le ton. « Déjà, j’ai eu la chance de jouer parce qu’on comptait sur moi, pas parce qu’il n’y avait plus d’autre choix… » On décèle derrière le discours politiquement correct du joueur, un sentiment de revanche.
Car les faits sont là. Depuis qu’il a signé son premier contrat professionnel à Troyes trois ans plus tôt, Jimmy Cabot n’a pas confirmé, les espoirs placés en lui, technicien hors pair. Simple confiné à un statut de joker pour forcer la décision dans le dernier quart d’heure. Et les rares fois où Jean-Marc Furlan lui a donné sa chance, en Ligue 2, le joueur est resté sur la réserve.
« À Reims, j’étais dans un bon jour, mais c’est aussi le plan de jeu mis en place qui nous a mis en valeur, Coco (Jean) et moi. On a pu jouer sur notre vitesse. Je n’ai pas plus de liberté, simplement, le contexte est différent. Moi, j’ai toujours su de quoi j’étais capable. »
Quelques blessures avaient aussi freiné son éclosion. Là, depuis ce match où il en a mis plein la vue, Jimmy Cabot va être attendu. « Un bon match, c’est bien, mais je dois confirmer sur la durée. Je mets de la folie, les gens aussi aiment ça. Mais je suis également capable de respecter les plans de jeu », dit-il pour ne pas être catalogué comme un simple feu follet.
Titulaire dans la Marne, Jimmy Cabot se verrait mal être relégué sur le banc samedi au stade de l’Aube contre Bastia. « La concurrence est relancée, des jeunes vont vouloir se mettre en valeur », estime l’attaquant de poche qui s’attend, avec la prise de fonction de Claude Robin à « trois ou quatre changements. » « Il va vite s’intégrer parce qu’il connaît notre projet de jeu, et les cartes vont être redistribuées. »
Dans cette nouvelle donne, Jimmy Cabot a toutes les chances pour devenir un leader technique dans le schéma offensif de l’Estac. Il a saisi la première occasion qui s’est présentée. À lui de ne pas rater les suivantes.
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 11 déc. 2015, 18:04
par djmaxdu10
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 11 déc. 2015, 18:10
par Kevin-10
Est-ce que tu pourrais mettre le contenu des articles plutôt que des liens stp ?
Sinon quand c'est un lien provenant du site de l'ESTAC je ne pense pas que ce soit très utile de le partager, la plupart des membres du forum consultent régulièrement le site off".
Re: [21] Jimmy Cabot >> juin 2016
Posté : 11 déc. 2015, 18:39
par djmaxdu10
3 QUESTIONS À... JIMMY CABOT
Petit Cabot deviendra grand ! Une affirmation qui, il n'y a pas si longtemps était encore une interrogation. C'était au temps où Jimmy n'était encore qu'une promesse. Certes, le gamin était doté d'un exceptionnel bagage technique, individuel. On n'attendait qu'il le mette au service du collectif. Et puis notre petit savoyard multiplia les pépins physiques. Celà l'empêcha entre autres de satisfaire aux sélections diverses en équipe de France, U19 et U20, voire avec les Espoirs. On sentait bien cependant qu'il montait en gammes. Le 28 octobre il connaissait sa première titularisation. C'était à Lille en Coupe de la Ligue. Le 7 novembre, Jean-Marc Furlan le titularisait de nouveau, mais cette fois en Ligue 1, à Lorient. Jimmy, malgré la défaite, rendait une belle copie. Et samedi dernier, il était encore du début du match, à Reims, mais aussi le meilleur joueur de la rencontre. L'année 2016 qui s'annonce pourrait bien être celle de l'éclosion de ce surdoué du foot
Jimmy, vous vous êtes particulièrement mis en valeur à Reims, au point où vous figurez dans l’équipe type de la journée de « France-Football » aux côtés de joueurs comme Ibrahimovic, Thiago Motta ou Djibril Sidibé. Comment réagissez-vous ?
C’est bien. C’était mon second match comme titulaire après celui de Lorient. Là-bas, je n’avais pas été mauvais non plus même si les Lorientais nous avaient bougés. On a vécu une période dure avec le départ du coach et de plusieurs membres du staff. Pado (Michel Padovani) nous a tenu un discours franc et émotif avant le match contre Reims. Il nous a dit de nous réveiller, que c’était le moment dans une situation difficile. Moi, ça faisait longtemps que j’attendais ça : être titulaire et réussir un bon match. Contre Reims, ça a été positif. Ma prestation n’est aucunement liée avec le changement d’entraîneur. C’est une suite logique et attendue de ce que j’ai fait récemment et que je devais, et que je dois encore, confirmer.
Vous n’allez pas être dépaysé par le changement d’entraîneur puisque Claude Robin qui succède à Jean-Marc Furlan, n’est pas un inconnu pour vous, étant donné que vous avez fait toute votre formation sous sa direction au Centre…
Je connais bien effectivement Claude Robin bien que je ne l’ai pas souvent eu comme entraîneur au Centre, mais lui me connait bien aussi. C’est une bonne chose qu’il reprenne l’équipe pro. Il ne sera pas dépaysé. Il connait beaucoup de joueurs et les infrastructures.
Bastia vient ce samedi au Stade de l’Aube dans un costume de relégable, comme vous. Il va forcément chercher à repartir de Troyes avec quelque chose en poche…
Bastia est effectivement relégable mais nous on est très, très relégables. J’ai constaté que les Bastiais connaissaient des difficultés à l’extérieur. Il y a donc peut-être des choses à faire chez nous. Pour connaître la réussite, nous devrons réitérer notre prestation de Reims, avec la même cohésion et la même solidarité, montrer la même image. Et être efficaces.