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Je pense que dans son contrat de prêt il doit y avoir un nb mini de matches a jouer.

https://twitter.com/aleaguemen/status/1 ... 38306?s=20

Pourquoi ce trophée issue du championnat australien c'est un bout de béton ?

Si un expert de ce "championnat" passe par là, qu'est-ce qu'il signifie au juste ?

Après quelques recherches, c'est un trophée pour le F3 Derby, pour récompensé le vainqueur du plus vieux derby du championnat australien entre les Central Coast Mariners et les Newcastle Jets. Si au bout des 3 matchs de championnat les deux clubs sont a égalité de points, le club détenteur garde le trophée.
C'est un bout de béton de l'autoroute M1 qui joint les deux villes.

https://www.newcastlejetsfc.com.au/news ... rby-trophy

Incroyable.

Il va être content du coup PK quand il va se prendre des pavés

Patrick Kisnorbo, entraîneur de l’Estac : « Démissionner ? Jamais ! »
Patrick Kisnorbo, entraîneur de l’Estac, est déterminé à mener à bien sa mission à Troyes. Et annonce au passage de nombreux mouvements dans l’effectif la saison prochaine.

Il a perdu son sourire, mais Patrick Kisnorbo, dans la tourmente, est plus combatif que jamais. Sa voix grave est posée, le ton déterminé. Comme du temps où il défendait les couleurs de Leicester City et de Leeds United, l’ancien défenseur australien est disposé à ne rien lâcher. Contre vents et marées, c’est ce discours incisif qu’il continue de marteler auprès de ses joueurs et en conférence de presse ce vendredi.

L’Estac est presque condamnée à la relégation, mais lui lutte, se défend, et, comme son président Aymeric Magne, se projette sur la fin de la saison, et la suivante. Quand bien même les résultats iraient en empirant. « Démissionner ? Non ! Pourquoi ? » Par fierté lui répond-on. « Si je n’étais pas fier, j’aurais déjà démissionné. Non, il n’y a aucune chance que ça arrive, c’est hors de question que je parte, enchaîne-t-il. Mon objectif, c’est de contribuer à la progression du club. C’est un défi qui se met en place sur le long terme. »

Impliqué à 100 % dans le projet, et c’est une vérité qu’on ne contredira pas, Patrick Kisnorbo a des certitudes, c’est tout à son honneur. Les prestations sur le terrain de son équipe pourraient pourtant le faire vaciller.

Il contre-attaque quand on lui rappelle qu’il a débarqué de Melbourne à Troyes avec un profil de meneur d’hommes, et qu’on lui demande d’expliquer pourquoi, ici à Troyes, il n’a pas réussi à entraîner ses joueurs derrière lui. « Je ne suis pas d’accord avec vous. Les joueurs me suivent, ils font exactement ce qu’on leur demande. Je les encourage, j’aide les joueurs autant que je peux. Vous pouvez venir à 7 heures le matin, je suis là. Vous pouvez venir à 21 heures, je suis encore là. Vous jugez uniquement les résultats, c’est votre problème, mais il faut juger ce que font les joueurs, comment ils s’entraînent… »

« Des torts partagés »

Des propos qui passeront mal auprès des supporters troyens. Eux (comme nous) jugent logiquement la partie visible de l’iceberg, les jours de match, alors que l’entraîneur se focalise uniquement sur le travail invisible en semaine.

Quand on l’emmène sur le terrain du partage des responsabilités dans cet échec sportif, il juge les torts « partagés. » « On fait tout pour que l’équipe soit prête à répondre présent 90 minutes, et les joueurs donnent le meilleur. Vous écrivez tous les jours de bons articles, vous ? C’est le football, on ne va pas baisser les bras, on va continuer avec la même énergie tant que je serai là. »

Si c’est le cas, ce sera avec l’énergie du désespoir lors des sept derniers matches, annonciateurs de quelques changements : « Les joueurs qui ont envie de lutter pour le club joueront. Certains jeunes auront l’opportunité de se montrer, certains doivent comprendre qu’il reste sept matches, que leur avenir soit à Troyes ou ailleurs. Ils vont devoir se surpasser. »

« Il y aura beaucoup de changements la saison prochaine »

Paternaliste et protecteur dans son management avec ses joueurs, Patrick Kisnorbo n’en dira pas plus mais, entre les lignes, on comprend qu’il a hâte de faire table rase de cette saison et de passer à autre chose pour montrer qu’il a la carrure pour s’imposer en France, avec ses idées, avec d’autres joueurs, même si ce doit être en Ligue 2. Il a des garanties de ses dirigeants lorsqu’il lâche : « il y aura beaucoup de changements la saison prochaine, mais je ne vais pas m’étaler là-dessus… Dans quelque temps, le club ira mieux, termine-t-il. Ce n’est pas parce que les temps sont durs qu’on doit s’arrêter. Quand on supporte un ami, une cause, un club, on le fait à fond. Le club est déjà descendu, mais dans les moments difficiles, il y a toujours une porte qui s’ouvre pour rebondir. »

On verra les joueurs qui vont suivre........

et seront-ils prêts, adéquats pour la L2 ?

"Les joueurs me suivent, ils font exactement ce qu’on leur demande."
Il se rend compte que du coup, c'est pire et que démissionner serait du coup le minimum?

jerem a écrit : ↑29 avr. 2023, 18:02 "Les joueurs me suivent, ils font exactement ce qu’on leur demande."
Il se rend compte que du coup, c'est pire et que démissionner serait du coup le minimum?

Ou il ne leur demande rien. Pour ce qui est de le suivre, le calendrier est imposé par la ligue ?