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Ce jour-là...7 janvier 2006

Parce que chaque jour a sa propre histoire ; et surtout parce qu'il est bon de se souvenir, se rappeler des bons et des moins bons moments passés à encourager nos couleurs.
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jerem
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Ce jour-là...7 janvier 2006

Message par jerem »

En ce 7 janvier et week-end de coupe, on aurait pu revenir sur la belle victoire 3-0 contre Créteil en Coupe de la Ligue en 2001, but de Saïfi et doublé de Goussé, face à l'équipe de Sébastien Dallet et Stéphane Cassard.
Mais revenons sur le 32e de finale de Coupe de France entre Calais, équipe de CFA, et l'Estac, alors en L1, le 7 janvier 2006, joué à Boulogne sur mer, au Stade de la Libération. Calais est une équipe de CFA mais habituée aux exploits, elle joue son quatrième 32e de finale en sept ans.

L'Estac a joué 3 jours avant, à Saint-Etienne. L'Estac a ramené le nul 1-1 grâce à un coup franc de Grax, expulsé lors de ce match à la 45e en même temps que Zoumana Camara. Perquis, Dabo et Gomis sont les trois remlaçants stéphanois à entrer en jeu.
En décembre, l'Estac a battu à domicile Sochaux 2-1 (Boucansaud et Jaziri), s'est inclinée 2-1 à Toulouse (avec Batlles) malgré l'ouverture du score par Grax et s'est imposée 1-0 à Ajaccio (où joue Saïfi) grâce à Amzine.
Ce qui inquiète à l'Estac, ce sont les buts en fin de match, celui d'Isabey de Sochaux à la 93e et celui de Mathieu pour Toulouse à la 90e.

Du côté de Calais, les deux derniers matches sont des victoires en décembre contre Viry Châtillon, entraîné par Alex Di Rocco, 1-0 et contre Schiltigheim 2-1.

Pour ce match, placé entre deux matches de championnat de L1, JM Furlan a décidé de faire tourner son effectif.
Guillaume, Dujeux, Adam, Boskovic, Danic, Ba et Nadé remplacent Montero, Kouassi, Amzine, Matuidi, Grax, Dallet et Jaziri.

L'Estac aligne ainsi : Le Crom - Dujeux Boucansaud Faye Guillaume- Adam Nivet- Danic Boskovic- Ba Nadé.

Le jeune coach calaisien Sylvain Jore, 30 ans, s'appuie sur des joueurs d'expérience et quelques jeunes.
On retrouve au coup d'envoi quelques héros de l'épopée de 2000, qui a vu Calais atteindre la finale au Stade de France contre Nantes : Schille dans les buts, Baron, Millien et sur le banc Dutitre, l'attaquant buteur lors de la finale 2000. Vasseur et Liébart remplaçants en 2000 sont titulaires.
L'équipe a été renforcée par Yohan Bouzin, ancien pro passé par Lorient ou Amiens, et surtout, en attaque, par Djezon Boutoille, ancien lillois, qui a joué la Ligue des Champions avec le LOSC, et qui jouent leur premier match avec Calais.

Devant 4 548 spectateurs, l'arbitre du match Patrick Lhermite siffle le coup d'envoi. Les Calaisiens y voient un bon présage, c'est lui qui officiait, dans ce même stade de Boulogne, lors du 8e de finale historique entre Calais et Cannes, 1-1, 4-1 tab, en 2000, le début de la fameuse épopée.

Malgré deux alertes de Djezon Boutoille en début de match (5e et 16e), ce sont les Troyens qui prennent le jeu à leur compte. Nadé voit sa tête piquée repoussée par Schille à la 21e. Mais ce sont eux qui ouvrent tout de même le score sur une contre-attaque à la conclusion de laquelle Nadé sert parfaitement Boskovic, qui marque d'une frappe croisée, son premier but (et dernier) en coupe de France, à la 25e minute.
Mais l'avantage ne dure pas bien longtemps. Sur une touche de Rollet, Boutoille remise pour Hoguet qui trompe Le Crom d'une belle volée (30e).
Avant la mi-temps, Calais menace avec deux frappes au-dessus (39e et 42e).
Au retour des vestiaires, Nivet centre parfaitement pour la tête de Nadé à la 52e.
Là encore, l'avantage ne dure pas longtemps, puisque sur un long coup franc de Boutoille, Le Crom manque sa sortie, devancé par la tête de Hoguet, le ballon revient sur la tête de Baron qui marque d'une tête lobée dans le but vide, à l'exception d'un Troyen sur sa ligne, surpris (63e).
Baron avait déjà permis au 7e tour de sauver Calais, mené 0-2 par une DH, avant de l'emporter 3-2.
Sur le coup d'envoi, les Troyens accélèrent, mais Danic bute sur Schille (64e).
L'heure des changements permet à Enza-Yamissi (76e) d'apparaître pour la 4e fois avec l'Estac, puis à Cédric Faivre d'entrer en jeu (84e).
En toute fin de match, l'Estac manque de façon incompréhensible deux occasions, d'abord avec le sauvetage sur sa ligne de Liébart (89e) puis un arrêt de Schille sur une tête de Nadé (90e+1). Lancés à l'abordage les Troyens manquent de se faire surprendre dans les arrêts de jeu, à la 90e+4, par Vasseur, parfaitement servi par Boutoille.
La prolongation a lieu.
Le coach calaisien fait entrer Jérôme Dutitre, celui qui a tout connu avec Calais, l'épopée de la Coupe, la montée en National, la relégation administrative en CFA 2 en raison de l'état des comptes du club...Trente secondes après son entrée en jeu et sur son premier ballon, à la 91e minute, il marque le 3e but calaisien, sur un centre, Ibrahima Faye se faisant subtiliser le ballon par le centreur juste avant en voulant protéger son ballon.
JM Furlan sort Faye quelques minutes plus tard, à la 99e minute, pour faire entrer Nabil Berkak.
Côté calaisien, Duvilliers participe à la fête à la 115e en remplaçant l'un des buteurs du jour, Fabrice Baron.
A part un dernier coup franc indirect accordé aux Troyens pour gain de temps du gardien calaisien, Schille n'est pas mis en danger.
L'Estac s'arrête en 32e finale, Calais ajoute une qualification historique à son palmarès.

https://www.youtube.com/watch?v=iuVYCOOMabM

Le président troyen Thierry Gomez lâche : « Et le pire, c’est que c’est logique. »
Du côté calaisien, le héros Dutitre dit : « C’est toujours beau à vivre, toujours magnifique, jamais pareil ».
Le gardien, Cédric Schille, en profite pour faire passer un message : « On avait des souvenirs mitigés dans ce stade, on avait gagné contre Cannes mais aussi été éliminés contre Boulogne deux ans plus tard au septième tour. Il doit quand même porter bonheur. C’est un stade chaleureux malgré la piste d’athlétisme, et je ne peux pas m’empêcher de penser qu’on aurait dû jouer ce match à Calais. C’est mon regret. Pourquoi on ne l’a pas, ce stade qu’on nous avait promis pour 2005 ? Déjà l’an passé, nous étions allés à Saint-Omer pour rencontrer Auxerre (0-1).On nous parle de 2008. Mais on ne jouera sans doute jamais un gros match de Coupe à Calais, et c’est incompréhensible. Déjà "Régi"(Réginald Becque) a arrêté, quand on aura enfin un stade les anciens auront sans doute tous arrêté. Ça m’énerve ! » Quand on lui parle de 2000, il répond: « Il y a six ans, c’était il y a six ans. Ce qu’on écrit, c’est l’histoire de Calais 2005-2006. J’aimerais montrer à ceux qui sont venus depuis 2000 ce que ça fait d’aller voir un peu plus haut. ».
Boutoille, l'ancien capitaine de Lille, analyse sa première : «Ça s’est bien passé, je crois. A la fin, c’était du quitte ou double, je ne sais pas comment ils ont fait pour ne pas marquer sur leurs deux occasions, et après c’est nous qui ratons un but presque fait. C’est vraiment un bonheur à part, il n’y a pas grand-chose de comparable avec un bonheur comme celui-là. C’est sympa, ça fait du bien. »

Le coach Jore, lui, savoure : « Cette victoire, c’est le signe que Calais jouit d’une vraie force mentale. En prolongation, on a trouvé des ressources physiques venues d’on ne sait où. Je suis heureux pour mes joueurs. Ils travaillent tous les jours pour vivre des moments comme ceux-là, et ils le méritent. Il y a de la qualité dans cette équipe, ce succès n’est pas un hasard. Calais est une équipe qui produit du jeu et va de l’avant. ».

Le coach Furlan, lui, hésite entre défendre ses joueurs, qui ont joué entre deux journées de championnat, et dénoncer leur manque de motivation pour la compétition :
« Qu'est ce qui- vous déçoit le plus ? Le verdict ou le scénario ?
– C’est la défaite tout court qui nous laisse une grande amertume. Chapeau Calais, qui mérite cette qualification. La Coupe de France fait rêver tous les joueurs amateurs et tous leurs supporters. Elle représente beaucoup pour les amateurs, beaucoup moins pour les professionnels. C’est une préoccupation qui intéresse moins les pros en 32es de finale. Après les 16es c’est différent, mais jusque-là... Enfin, ça a été une belle rencontre, l’ESTAC est une équipe qui joue au foot et je pense que les spectateurs ont vu un beau spectacle.

–Vous avez mené deux fois, pourtant vous perdez contre une équipe qui évolue trois divisions en dessous...
– Peu importe le scénario. Vous savez, on doit marquer deux fois en fin de match, et on ne sait même pas comment on n’a pas réussi à le faire.

–Vos joueurs ont-ils fauté au niveau de l’état d’esprit, de l’envie ?
– Il y a déjà beaucoup d’engagement de la part des pros en Championnat, alors ils n’avaient peut-être pas totalement l’esprit à ce match, surtout entre deux journées de Ligue 1. Je crois qu’ils n’ont jamais cessé d’avoir le Championnat bien à l’esprit. Même pendant ce match.

–Est-ce bizarre d’être dans le camp des pros battus après avoir souvent connu la joie inverse ?
– Ce n’est pas bizarre, mais c’est une déception énorme. Je rêve de gagner la Coupe de France en tant qu’entraîneur, moi qui ne l’ai jamais remportée en tant que joueur. Pour le moment, c’est très difficile à vivre.

–On a l’impression qu’il y a un décalage entre votre propre motivation dans cette épreuve et celle de vos joueurs...
– Vous avez fait le commentaire pour moi.»

Ce 7 janvier, sur les autres matches de coupe de France, en 32e de finale, retenons que :
Jérome Rothen et le PSG s'imposent 4 à 0 chez les amateurs de Vermelles
Cédric Barbosa, entré en jeu à la 66e, et Rennes s'imposent difficilement 3-2 à Ajaccio contre Corte, réduit à 10 dès la 23e minute
Benjamin Psaume et Toulouse, entraîné par Erick Mombaerts s'inclinent 2-1 chez les amateurs de Lyon-La Duchère
Florian Jarjat et Nice (avec le jeune Hugo Lloris, 19 ans, dans les buts) sont éliminés 3-0 à Brest
Jonathan Lacourt et Lens s'imposent 1-0 au Mans, où Olivier Thomas ne prend pas part à la rencontre
Damien Perquis et Saint-Etienne, avec Dabo et Gomis entrés en jeu à la 116e, sont éliminés en prolongation par Lille à la 120e+3.
Stéphane Morisot et Metz s'imposent 4-0 à la JA Drancy
David Hamed et Istres sont éliminés à Moulins, 3-3, 5-3 tab
Eric Marester, prêté par l'Estac et Christophe Meslin, avec Bastia, se qualifient face à Louhans-Cuiseaux 3-3, 3-1 tab (Meslin tire et marque le sien)
David Linarès et Helder Esteves, entré en jeu à la 56e, avec Dijon, se qualifient 2-1 face à Forbach
David Vairelles et Amiens battent 2-0 Plabennec
Stéphane Cassard et Guillaume Lacour titulaires avec Strasbourg, éliminent Nancy 4-0 (dont un doublé de Gameiro, 18 ans, qui joue son 4e match)
Benoît Lesoimier et Caen (où Nicolas Florentin ne participe pas au match) s'imposent 4-0 à Longuenesse mais sont éliminés sur tapis vert 3-0
Foued Kadir et Cannes sont éliminés par Agde 1-1, 3-4 tab
Alain Tjock et Mulhouse, entraîné par Damien Ott sont éliminés par Sainte Geneviève 5-0
Vincent Carlier et Vincent Gragnic entré en jeu à la 71e, avec l'Entente Sannois Saint Gratien s'imposent 6-0 sur le terrain de Saint Pryvé
Nicolas Campion, entré en jeu à la 65e et l'US Roye battent Alençon 1-0
Frédéric Danjou et Ajaccio se qualifient 2-0 à Saint-Lô
Stéphane Darbion ne participe pas à la victoire 2-0 de Montpellier contre Hyères
Ludovic Liron ne participe pas à la défaite de Valenciennes à Nantes 2-1. Heurtebis est sur le banc nantais.

La veille, le 6 janvier, Karim Ziani et Lorient s'étaient imposés à Vannes 2-1.
Le 8 janvier prend fin ce tour de Coupe de France :
Kévin Grau et Nassim Akrour avec Grenoble ne peuvent rien faire face à Sylvain Monsoreau et Lyon, 0-4 et le doublé de Karim Benzema
Marseille, avec Demetrius Ferreira, mais sans Mamadou Niang, s'impose 4-0 avec un doublé de Ribéry contre Le Havre, où Olivier Blondel jouait à la place de Steve Mandanda.
Yann Lachuer et Auxerre (sans le Troyen Baptiste Martin, formé à Auxerre) s'imposent 1-0 à Noisy le Sec.
Enfin, David Gigliotti, auteur d'un quadruplé, permet à Monaco de se qualifier sur le terrain de Rhône Vallée, 6-0, score acquis à la 49e. Le calvaire de l'ancien défenseur de l'ATAC, Nicolas Forge, 34 ans, prend fin à la 55e minute, lorsqu'il est remplacé.

Du côté de Calais, la magie de la coupe continue, ils s'imposent 1-0 à Saint Geneviève en 16e, puis battent Brest (L2) en 8e de finale 1-0 après prolongation, but de Hoguet, avec au sifflet, toujours M. Lhermite. L'aventure prend fin en quarts de finale, contre Nantes, à la 88e minute avec un but de Frédéric Da Rocha et Tony Heurtebis sur le banc.
Cette année-là, c'est le Paris Saint Germain de Jérome Rothen qui s'impose en finale contre l'Olympique de Marseille.

Le match ne laissera pas de traces côté troyen, puis 4 jours plus tard, le 11 janvier 2006, ils s'imposent 1-0 contre Lille en championnat, grâce à un but de Matuidi (10e).

L'année suivante, le 6 janvier 2007, malgré la mise en garde de Furlan, l'Estac s'incline 4-2 à Libourne contre l'ancien club de Furlan, match marqué par l'expulsion de Benjamin Nivet à la 40e minute pour une faute sur Yahia Kébé, et marqué aussi par le triplé de Zvonimir Deranja face à Quentin Westberg.


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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

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J'avais oublié cette honte et pourtant j'avais fait le déplacement ce jour la. Furlose qui s'était fait connaitre grâce à la coupe de France, chiait dessus avec les pros, on s'est toujours fait taper par des clubs de divisions inférieures comme Albi au stade de l'Aube l'année d'avant (la règle du petit qui reçoit avait été supprimée), lors de son second passage la seule exception c'était la demie en 2013. La saison suivante on se fait taper par Nancy chez nous avec une titularisation de Grandel qui restera dans les mémoires.
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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

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turtle a écrit : 07 janv. 2023, 19:14 J'avais oublié cette honte et pourtant j'avais fait le déplacement ce jour la. Furlose qui s'était fait connaitre grâce à la coupe de France, chiait dessus avec les pros, on s'est toujours fait taper par des clubs de divisions inférieures comme Albi au stade de l'Aube l'année d'avant (la règle du petit qui reçoit avait été supprimée), lors de son second passage la seule exception c'était la demie en 2013. La saison suivante on se fait taper par Nancy chez nous avec une titularisation de Grandel qui restera dans les mémoires.
Albi...3-1, avec déjà Grandel dans les buts !
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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

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Grandel qui avait été mauvais MAIS avait gagné sa place pour la 2e partie de saison, la logique Furlose avec les copains.
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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

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turtle a écrit : 07 janv. 2023, 22:09 Grandel qui avait été mauvais MAIS avait gagné sa place pour la 2e partie de saison, la logique Furlose avec les copains.
Peiser avait payé pour le 5-5 contre Châteauroux
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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

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D'ailleurs à l'époque j'avais un site internet sur l'Estac et je connaissais quelques joueurs dont Peiser. Peiser n'avait eu aucune explication de la part de Furlose concernant sa mise à l'écart.
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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

Message par jerem »

turtle a écrit : 10 janv. 2023, 11:43 D'ailleurs à l'époque j'avais un site internet sur l'Estac et je connaissais quelques joueurs dont Peiser. Peiser n'avait eu aucune explication de la part de Furlose concernant sa mise à l'écart.
Il s'était refait la cerise à Gueugnon et au Portugal, j'étais content pour lui.
Furlan a toujours eu un peu ce genre de méthode, comme pour Montero et l'arrivée de Ferreira, ou quand il a recruté Petric alors qu'il avait intronisé Dreyer après Thuram.
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Re: Ce jour-là...7 janvier 2006

Message par turtle »

Oui il était sympa Romuald. Furlose c'était tout pour les copains avec une totale confiance de Masoni qui lui faisait totalement confiance. Je me souviens aussi de la mise a l'écart de Duhamel à son arrivée parce qu'il ne l'avait pas recruté au profit du retour de Grax.
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